L’ULB est un établissement privé d’enseignement supérieur à caractère scientifique, technique et professionnel chargé de la formation, du perfectionnement (formation continue), de l’animation de la recherche en gestion (entreprises, finances, commerce) et en communication (relations publiques, journalisme). Elle est située au secteur 18 à l’arrondissement 04 Nongremassom de la ville de Ouagadougou. L’ULB s’étale sur une superficie de19.478 mètre carré et dispose de quatre bâtiments dont trois (03) subdivisés en classes et un amphithéâtre de 300 places pour les cours du jour et du soir et le quatrième bâtiment utilisé pour siéger l’administration. En vue de l’agrandissement de l’université, un bâtiment R+2 est en cours de construction. L’université jouit de la personnalité civile et de l’autonomie administrative, financière et académique. Elle s’efforce à concilier la formation théorique et l’apprentissage pratique en œuvrant au rapprochement de l’université avec le monde du travail.
L’Université Libre du Burkina (ULB) est instituée par l’Arrêté n° 2002-040 / MESSRS /SG / DGERS du 25 mars 2002 du ministre en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Elle est créée par l’Association SPES (Savoir-Plus-Education-Santé). Son siège est à Ouagadougou.
Première université privée du Burkina Faso, l’Université Libre du Burkina a ouvert ses portes à la rentrée universitaire 2000-2001 avec l’agrément du Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique par lettre n°99-748/MESSRS du 11 novembre 1999 puis de l’autorisation d’ouverture par l’arrêté n°2002-040/MESSRS/DGESRS du 25 mars 2002.
La création de l’Université Libre du Burkina se justifie à la fois à travers la politique nationale en matière d’enseignement qui encourage l’enseignement privé (Colloque national sur l’enseignement privé, tenu du 21 au 23 décembre 1992 à Ouahigouya) ; les Etats Généraux de l’éducation, tenus du 05 au 10 septembre 1994 à Ouagadougou ; la loi d’orientation de l’éducation (loi n°13-9-ADP du 9 mai 1996 ) ; le décret n°99-221/PRES/ PM/MESSRS/MEBA du 29 juin 1999), et le besoin croissant en formation des jeunes Burkinabé.
Aussi, L’ULB se veut une université panafricaine et accueille plus d’une dizaine de nationalités issues majoritairement de pays d’Afrique de l’Ouest et centrale tels que des Burkinabè, Maliens, des Ivoiriens, des Togolais, des Béninois, des Nigériens, des Camerounais, des Tchadiens, des Gabonais, des Centrafricains et des Congolais.
De sa création à nos jours, l’ULB a mis sur le marché de l’emploi quelques centaines de cadres détenteurs de diplômes universitaires (licences, maîtrises, masters) et répondant à des profils variés.
Le Conseil d’Administration assure la haute responsabilité de l’Administration de l’ULB. Il délibère sur les principales questions touchant à la gestion de l’institution.
L’ULB est administrée par un Conseil d’Administration de six (06) membres comprenant :
-Trois (03) représentants de l’association « S.P.E.S » dont le fondateur ;
-Un (01) représentant du ministère de tutelle ;
-Un (01) représentant des opérateurs économiques désigné par la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Artisanat ;
-Un (01) représentant du personnel enseignant, administratif et technique.
Par ailleurs, assiste au Conseil d’Administration en qualité d’observateurs, le Recteur accompagné de ses collaborateurs.
Le CA peut inviter à ses séances, sans voix délibérative, des personnes dont la présence est jugée utile.
L’Assemblée Générale délibère sur la définition de l’orientation générale de l’ULB. Elle est composée :
-du recteur (président) ;
-du secrétaire général (Rapporteur) ;
-des directeurs d’UFR ;
-des responsables de sections ;
-d’un représentant du ministère de tutelle ;
-d’un représentant des enseignants ;
-d’un représentant du personnel administratif et technique ;
Le conseil scientifique est une structure à caractère purement académique. Il propose à l’Assemblée Générale des politiques de recherche, de documentation scientifique et technique ainsi que la répartition des moyens de recherche. Le conseil scientifique comprend :
-le recteur (président) ;
le secrétaire général (rapporteur) ;
-les directeurs d’UFR ;
-les responsables de section ;
-trois représentants du personnel enseignant.
Le directeur général s’occupe des aspects administratif, comptable et financier de l’université. Il représente l’ULB auprès des tiers. Il prépare pour chaque année, le budget et l’exécute. Il est aidé dans ses activités par le secrétaire général.
Le recteur est garant de la qualité, de la crédibilité des formations et des diplômes de l’université ainsi que de la politique de recherche. Il veille à ce que l’ULB mène ses activités académiques et de recherche dans un cadre propice et prend les mesures appropriées à cet effet.
Les établissements d’enseignement et de recherche qui composent l’ULB sont répartis en UFR et représentés chacun par un Directeur. A ce jour l’ULB en compte (04) :
-UFR Sciences Economiques et de Gestion (SEG) ;
-UFR Sciences Humaines et Sociales (SHS) ;
-UFR Sciences Juridiques et Politiques (SJP)
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